Les mitochondries ont été largement considérées comme des organites, théâtre
d’impasses métaboliques au service de la cellule, ou comme des mini-usines pourvoyeuses
d’énergie ; exerçant une fonction régulatrice dans la mort cellulaire, en
réponse à de complexes signaux. En sa qualité d’entité cellulaire aux fonctions
vitales, la mitochondrie communique des informations déterminantes pour le
devenir de la cellule ; en retour de celles reçues d’autres organites
fonctionnels régnant en son sein. Ces signaux sont identifiés comme signaux de
rétrocontrôle, et sont soit codés par le génome, soit des produits du
métabolisme mitochondrial. Ici, nous
discutons de l’humanine, le premier petit peptide d’une supposée série de
peptides dérivés des mitochondries (PDMs), aux fortes actions cytoprotectrices
dans des modèles variés de stress et de pathologies. L’étude de l’humanine et d’autres
peptides-signaux mitochondriaux de rétrocontrôle sera d’une aide précieuse dans
l’identification de gènes et de peptides potentiellement utiles dans le
diagnostic et le traitement de maladies chez l’homme. Changhan Lee,
Kelvin Yen, et Pinchas Cohen; in Trends in Endocrinology and Metabolism – 865,
online 8 February 2013, in press
Source: Science Direct /
Traduction et adaptation: NZ
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