Des preuves toujours plus nombreuses suggèrent que
les dommages causés à l’ADN jouent un rôle central. Plusieurs niveaux de défense
sont apparus, avec pour but de réduire l’accumulation d’ADN endommagé, les
molécules en cause dans les dommages causés à l’ADN, réparant l’ADN endommagé,
et induisant la sénescence ou l’apoptose en réponse à l’accumulation d’ADN
endommagé. Les mutations, ainsi que les voies de signalisations défaillantes
peuvent mener à un vieillissement prématuré et un déclin des organes vitaux lié
au vieillissement ; soutenant l’hypothèse selon laquelle le maintien d’un
génome intact est primordial pour la
santé humaine. La compréhension de la manière dont nous gérons la manière dont
les dommages causés à l’ADN pourraient nous fournir des éléments sur les
processus de vieillissement et ; plus précisément, la manière dont le
maintien d’un ADN déficient se manifeste dans divers phénotypes liés à l’âge.
Ces connaissances pourrait mener au développement d’interventions novatrices
visant à prolonger la vie. Michael A. Petr, et al, dans Trends in Cell Biology,
publication en ligne en avant-première, 6 janvier 2020
Source iconographique, légendaire et rédactionnelle :
Science Direct / Traduction et
adaptation : NZ
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire