Adipocytes humains. Source iconographique et légendaire: http://www.i2mc.inserm.fr/33601914/0/fiche___pagelibre/&RH=1310392587568 |
Le diabète gestationnel est
caractérisé par une intolérance au glucose dont le début,ou la découverte par
le médecin se situent pendant la grossesse. Cette maladie montre des facettes
propres au syndrome métabolique ;
notamment obésité, résistance à l’insuline, et dyslipidémie. Les
adipokines sont un groupe de protéines secrétées par les adipocytes, dont la
régulation altérée en cas d’obésité contribue au développement de complications
métaboliques et vasculaires. De récentes études ont décrit le rôle de
différentes adipokines dont la leptine, l’adiponectine, le facteur de nécrose
tumorale α (TNF α), la protéine de liaison des acides gras (AFABP), la protéine
de liaison du rétinol 4 (RBP4), la résistine, NAMPT, SERPINA12, la chimérine,
la progranuline, FGF-21, TIMP1, LCN2, AZGP1, l’apeline (APLN), et l’omentine
dans le diabète gestationnel. Cette Revue de Littérature fournit un aperçu de
ces adipokines clé, de leur régulation, et de leur contribution potentielle
dans le développement du diabète gestationnel. Les données actuelles indiquent
que les adipokines adiponectine, leptine, TNFα, et AFABP semblent être les plus
impliquées dans la physiopathologie du diabète gestationnel. Prof Mathias
Fasshauer MD et al, dans The Lancet Diabetes & Endocrinology, publication
en ligne en avant – première, 30 décembre 2013
Source : The Lancet Online / Traduction et
adaptation : NZ
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