Alors que l’on croyait cela impossible, il maintenant établi que la
modification d’activité de certaines voies génétiques conservées peut mener à
une extension de la durée de vie chez les organismes expérimentaux.
Chez les êtres humains, toutefois, le but est d’étendre la période de vie en bonne santé, à
savoir la période de vie fonctionnelle et sans pathologie. La question posée
est donc celle-ci : les voies conduisant à l’extension de la durée de la vie
conduisent-elles également à une prolongation de la vie en bonne santé ?
Marlene Hansen et Brian K. Kennedy, dans Trends in Cell Biology, publication en
ligne en avant-première, 27 mai 2016
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