Au cours des 40 dernières années, la recherche sur la manière dont les
impressions et les attitudes sont générées s’est reposée sur les thérories
impliquant un processus double qui représentent le savoir d’un réseau
associatif unique. Bien que de tels modèles expriment les effets d’amorçage et
quelques réponses implicites, ils sont généralement silencieux quant aux autres
formes d’apprentissage et sur l’interface entre la cognition sociale et la
perception en lien avec l’action. Simultanément, les avancées dans le domaine des
neurosciences cognitives révèlent de multiples formes d’interaction dans le
domaine du langage et de la mémoire (par exemple la mémoire sémantique associative,
le conditionnement pavlovien, et les apprentissages instrumentaux), avec les
modèles détaillés de leurs modes opératoires, les bases neurales, et les
connections avec les systèmes de perceptifs et comportementaux. Cette
perspective de système de mémoire offre un modèle plausible de cognition
sociale et d’attitudes qui, sur le plan neurologique, je l’affirme fermement,
fournit un tableau constructif et utile du comportement social humain. David M. Amodio, dans Trends in Cognitive
Sciences, publication en ligne en avant-première, 19 novembre 2018
Source iconographique, légendaire et rédactionnelle :
Science Direct / Traduction et
adaptation : NZ
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