Des études expérimentales et observationnelles ont
montré qu’une classe d’interaction entre deux espèces (qu’elle soit de
dépendance, compétitive, antagoniste, ou neutre) peut commuter vers une autre
classe d’interaction, dépendant de facteurs biotiques et abiotiques de
l’environnement au sein duquel les espèces sont observées. Cette complexité
apparaît de l’évidence de l'existence d'une dépendance fonction du contexte ; elle souligne
la difficulté d’établir une analyse systématique de l’étendue du cadre des
interactions inter-espèces observées dans la nature et lors d’approches
expérimentales.
Ici, nous proposons un cadre théorique fondamental intégrant des approches probabilistes et structurelles, afin d’établir dans
quels contextes environnementaux les changements de classes d’interactions restent
sans conséquence pour les espèces. Cette intégration fournit une plateforme systématique sur
laquelle il est possible de formuler des hypothèses nouvelles, des prédictions
claires, et des attentes quantifiables sur la contexte-dépendance des
interactions inter-espèces. Chuliang
Song, et al, dans Trends in Ecology & Evolution, publication en ligne en
avant-première, 29 janvier 2020
Source iconographique, légendaire et rédactionnelle :
Science Direct / Traduction et adaptation :
NZ
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