Des modes de de vies malsains ainsi que les problèmes de santé mentale sont en augmentation à l’heure actuelle. Non seulement le surpoids et l’obésité induits par la malbouffe sont des facteurs de risque de troubles cérébraux, mais ils sont associés à une mauvaise santé sur le plan intergénérationnel. Ici, nous rendons compte des connaissances actuelles relatives à la manière dont le régime alimentaire maternel et paternel à la fois exerce une influence sur le développement du cerveau de la progéniture, prédisposant potentiellement les enfants à des troubles mentaux. Les preuves indiquant l’influence du régime alimentaire maternel et paternel sur la programmation métabolique du nourrisson et le développement de ses fonctions neurocomportementales sont en constante augmentation, avec potentiellement, des effets en aval sur la santé mentale et la résilience. Au-delà du système nerveux central (SNC), l’axe de signalisation microbiote-intestin-cerveau apparaît comme un important médiateur de la physiologie de l’hôte. Nous discutons la manière dont s’opèrent les semailles intergénérationnelles du microbiome intestinal par transmission parents-enfants peut influencer la santé de l’intestin et la neurobiologie de la progéniture. Carina Bodden, et al, dans Trends in Endocrinology & Metabolism, publication en ligne en avant-première, 30 avril 2021
Source iconographique, légendaire et rédactionnelle : Science Direct / Traduction et
adaptation : NZ
2 commentaires:
Greeat post thanks
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