Les transmetteurs gazeux sont des molécules de gaz générées de manière endogène.
Nous nous sommes rendu compte au cours de la dernière décennie, que ces
molécules de signalisation gazeuses revêtent une importance cruciale ; et
sont irremplaçables dans toute une variété de processus biologiques.
Cependant, il y a encore beaucoup de défis à relever dans ce domaine précis de recherche.
De fait, il faut clarifier les interactions existant entre les différents
transmetteurs gazeux, décrypter leur réseau de signalisation cellulaire ;
et ajouter de nouveaux membres à cette famille moderne que constitue les
transmetteurs gazeux comme le monoxyde de d’azote (NO), le monoxyde de carbone
(CO), et l’hydrogène sulfuré (H2S). Si l’ammoniaque satisfait aux
critères caractérisant un transmetteur gazeux, le méthane reste un candidat
potentiel. Si l’on suit le postulat émis il y a plus d’une décennie, dans un
premier article scientifique décrivant le concept de
transmetteurs gazeux multiple, le présent article – qui lui fait suite – a pour
but d’inspirer l’intérêt d’explorations nouvelles et d’amplification des projets de recherche dans ce domaine des
transmetteurs gazeux. Rui Wang, dans Trends in Biochemical Sciences,
publication en ligne en avant – première, 22 avril 2014
Source : Science Direct /
Traduction et adaptation : NZ